Test : Dungeons 3 !

Test : Dungeons 3 !

Devenez le mal absolu et prenez-y du plaisir !

 

Après un premier article sur Dungeons 3, on a pu mettre la main sur ce jeu machiavéliquement drôle. Il est désormais temps d’en discuter un peu ensemble ! Pour commencer, on va faire une petite piqûre de rappel sur ce qu’est Dungeons 3, afin de ne pas vous perdre lors de votre lecture. Il s’agit d’un jeu de gestion de donjon avec deux camps bien distincts : le Bien et le Mal. En tant qu’entité maléfique à la solde du Mal, il faudra se défendre face à ces viles forces du Bien pour faire le mal un peu partout, tout en y prenant plaisir. Comme dit lors de l’article présentant le jeu (que vous trouverez en cliquant ici), vous devrez envahir le vaste monde dans un mode campagne avec un narrateur aux références cinématographiques foisonnantes et à l’humour assez douteux.

 

 

Le Gameplay

 

Dungeons 3 se caractérise par une prise en main facile, ainsi qu’un mode didacticiel complet qui vous permettra de vous familiariser avec les mécaniques. Un point intéressant du jeu, c’est que durant le mode campagne vous continuerez à recevoir de l’aide grâce à de petites explications. Vous ne serez donc jamais perdu. De plus, la manière de construire votre donjon vous sera propre, ce ne sera jamais le même au cours de chacune de vos missions. De ce fait, si vous avez commis des erreurs avec le donjon précédent au cours de votre campagne, vous éviterez de les répéter. Grâce aux missions qui vous guideront, vous débloquerez l’accès à l’arbre des compétences qui vous permettra de fabriquer de pièges, mais aussi bien d’autres choses.Tout le jeu est faisable à la souris, mais il est possible de jouer au clavier grâce à un mappage de touche bien pensé pour les adorateurs du remaniement des touches, afin que tout le monde y soit à son aise.

 

Ce qui est bien dans les réglages, c’est qu’il est possible modifier la loquacité du narrateur. On s’explique sur ce point : le narrateur, par moment peut, se montrer un peu pénible, ce qui avait déjà été reproché dans les premiers volets de la saga, mais maintenant il existe la possibilité de le rendre plus ou moins bavard. C’est un détail qui a son importance.

 

 

 

Les graphismes et l’ambiance de Dungeons 3

 

Pour la partie graphique, on n’a pas grand chose à dire, mis à part une exclamation : Wahou ! Dungeons 3 est magnifique avec des effets simples qui contribuent au charme du jeu. On a réalisé le test en ultra, puis avec des réglages plus faibles, et malgré tout, il reste visuellement agréable. Les différents détails du donjon sont bien pensés : avec la découverte progressive de la carte ; les effets avec les pièges ou les différentes créatures cachée dans les parties reculées et inexplorées. Cela se note que le jeu a été réalisé avec soin.

 

Au niveau de la musique d’ambiance, elle est sobre et agréable, en plus de correspondre à ce type d’univers. Ce n’est pas un son que l’on désactivera dans les réglages, bien au contraire puisque la musique d’ambiance convient parfaitement ! En prime, elle se mélange bien avec le narrateur. En ce qui concerne ce dernier, vous l’aurez compris, on l’a réellement apprécié ! Pour se faire une idée sur son élocution et ses dialogues, il a été réglé sur assez bavard… et pour tout vous dire, on n’a pas été déçu. Il ajoute toujours de petites références à la pop culture placées au bon moment, comme celles sur LOTR.

 

 

 

Conclusion

 

Dungeons 3 est un très bon jeu de gestion de donjon. Agréable du début à la fin et rempli de bonnes surprises, vous ne verrez pas passer le temps sur ce jeu qui vous fera ressortir votre côté machiavélique tout en vous amusant. Vous prendrez plaisir à jouer et à gérer vos créatures à coup de baffes et de batailles en dehors et à l’intérieur de votre donjon. L’aspect général de Dungeons 3 est une très bonne surprise et une agréable découverte pour notre équipe qui a apprécié la réalisation et l’ambiance qui règne sur ce jeu. On vous le recommande !

 

Pour en apprendre davantage sur Dungeons 3, rendez-vous ici !

 

Test : Stellaris Console Edition !

Test : Stellaris Console Edition !

Stellaris Console Edition, le jeu de gestion spatial qui nous emmène vers des contrées lointaines !

 

Comme à notre habitude, nous avons débuté le test par un rapide coup d’oeil un peu partout. En effet, il nous faut bien tout étudier pour vous donner des informations sur ce jeu de gestion spatial qu’est Stellaris : Console Edition. Pour rappel, c’est un jeu de stratégie en 4X développé et édité par Paradox Interactive. D’abord sorti sur PC, il fait maintenant son apparition sur vos consoles de salon, pour votre plus grand bonheur. Stellaris se situe dans un univers de science-fiction et est très immersif, une fois que nous sommes plongés dans le jeu.

 

Découvrez ou redécouvrez le trailer Stellaris :

 

 

Entrons ensemble dans le vif du sujet avec notre test. Nous commencerons comme à notre habitude avec les réglages du jeu. Vous pouvez intégralement tout modifier au niveau du réglage des touches : si un paramètre ne vous convient pas par rapport à votre façon de jouer, changez-le.

Manette

 

Au niveau du gameplay, vous pouvez modifier la langue du jeu, activer ou désactiver le didacticiel (ce qui n’est pas recommandé si vous débutez sur Stellaris), mais aussi régler le système de sauvegarde automatique. Comme sur tout jeu, les modifications dans les réglages affecteront grandement votre immersion, réglez en fonction de vos envies pour vous assurer un confort de jeu optimal. Pour finir sur les réglages, la partie son est, quant à elle, simple à régler.

Nous commençons le jeu avec une autre partie de réglage, celle de notre partie. Ici, il vous faudra régler l’intégralité de votre partie, mais les paramètres par défaut sont très bien. Vous pourrez y ajuster énormément de paramètres (cf. au screen ci-dessous) de la civilisation en passant par la forme de la galaxie, jusqu’à la date de fin de partie, la difficulté de l’IA et bien d’autres choses, tout y passe.

 

 

Ensuite, il vous faudra choisir votre faction et là, vous pourrez sélectionner qui vous souhaiterez représenter parmi un large choix d’espèces en tout genre. Pensez à votre façon de jouer pour vous aider à choisir, ce choix est capital pour décider quelle tournure prendra la suite de votre aventure.

 

Stellaris : Console Edition est d’une beauté à couper le souffle, en effet, les graphismes sont sublimes. Malgré quelques informations dans le didacticiel mal expliquées, ainsi qu’une prise en main compliquée quand nous ne connaissons pas forcément ce style de jeu en 4X, nous pouvons vite être perdus. Une fois que vous aurez tout réglé et choisi votre faction, le jeu débute. Vous devrez explorer et agrandir votre territoire à travers les différents systèmes. Les missions du journal de bord sont très bien expliquées et ne vous laissent pas sans informations ou objectifs pour progresser dans le jeu. Les menus sont peu ergonomiques et il n’est pas forcément simple d’évoluer dans ceux-ci si nous ne sommes pas habitués, mais c’est bien l’un des seuls points négatifs. Une fois la prise en main des menus faite, le jeu devient beaucoup plus fluide et même un novice saura apprivoiser les subtilités de Stellaris comme il le souhaite.

 

Conclusion

 

Stellaris : Console Edition est un très bon jeu de stratégie en 4X qui vous fera passer des heures sur votre console. Des graphismes magnifiques qui vous immergerons totalement dans cet univers spatial, avec une bande sonore relaxante qui vous plongera encore plus dans son ambiance. Petit point négatif sur l’ergonomie et certaines parties du didacticiel peu compréhensibles, mais cela reste vraiment bénin par rapport à la globalité du jeu.

Nous vous recommandons chaudement Stellaris : Console Edition si vous avez envie de passer des heures à gérer votre civilisation à travers l’espace !

 

Rise of Humanity, le test de la démo !

Rise of Humanity, le test de la démo !

Rise of Humanity le complexe jeu de construction de deck au tour par tour   vous permettra de sauver l’humanité !

 

 

Pour commencer, parlons un peu de Rise of Humanity , ce jeu développé par Cybernetic Walrus, est un jeu de construction de deck au tour par tour. Dans celui-ci, vous serez aux commandes d’une troupe de héros, qui a survécu jusqu’à présent à l’apocalypse robotique, résistant aux différents assauts durant les cinquante dernières années. Cependant, un jour ils découvrent que les robots, envoyés par l’IA pour semer la peur et la destruction, s’affaiblissent et qu’en sus, ils ont révélé un point faible. C’est le moment de riposter !

 

 

 

Les différents menus et réglages

 

Comme à notre habitude, nous allons séparer le test en deux parties : les réglages et le gameplay. C’est important pour nous de tout vous montrer, alors commençons par les réglages. Comme dans tout style de jeu, il existe différents paramètres, ici nous avons :

  • Gameplay : qui permet de régler la langue du jeu (même si en mettant en français, le jeu reste en anglais lors de l’alpha), les animations des combats ou encore le repositionnement de la caméra automatiquement. Vous pouvez également vous connecter avec votre compte twitch, ce qui est peu commun pour un jeu vidéo.

  • Réglages de base : avec les réglages vidéo, qui permettent de régler l’affichage ; la résolution que nous souhaitons obtenir pour jouer à Rise of Humanity. Ensuite, nous retrouvons la partie audio qui est une partie essentielle pour permettre une immersion totale dans cet univers. Les réglages que ce soient sur la vidéo ou encore l’audio, ne sont pas trop fournis, cependant cela suffit pour régler selon notre convenance et offrir une expérience agréable.

 

 

Les mécaniques de jeu et les graphismes

 

Passons sur l’expérience de Rise of Humanity, dont l’alpha possède deux niveaux très bien pensés. Tout d’abord, nous commençons la mission avec un seul personnage avec 10 cartes à jouer. Lors du premier tour, nous avons 5 cartes en main, et certains mécanismes de carte ou des compétences de personnage pourront modifier cela. Pour terminer le tour, nous pouvons jouer nos 5 cartes d’entrée.

Vous l’aurez vite compris, chaque carte a sa propre action. Si nous nous référons à l’image au-dessus, nous avons 3 cartes :

  • une attaque aérienne
  • un mouvement de deux cases
  • le lapin explosif

Ce ne sont que 3 cartes parmi plusieurs dizaines. Lors du test, à ce moment précis, il fallait utiliser le lapin explosif pour attaquer le robot. Cependant, nulle inquiétude à avoir car le tutoriel explique bien, et même si vous n’êtes pas habitué à lire de l’anglais, vous pourrez comprendre. Une fois vos actions effectuées, l’IA joue à son tour et ainsi de suite, jusqu’à la destruction complète de l’I.A ou de vous-même. En somme, les mécanismes de Rise of Humanity ne sont pas trop complexes et le jeu est facile à prendre en main. En effet, un peu de logique et vous y arriverez sans trop de soucis, il suffit seulement de bien réfléchir aux déplacements et aux actions. Et entre les loots box sur la carte qui vous permettront de récupérer de nouvelles cartes et la destruction des différents robots qui vous fera récupérer de petites cartes, vous ne serez jamais à court.

 

Les graphismes de Rise of Humanity sont très agréables, il n’en faut pas plus, que ce soient sur les explosions ou les mouvements, car l’ensemble est très soigné. Les cinématiques d’action sont bien pensées et ne viennent pas alourdir le jeu. Pendant les phases avec des mouvements, nous pouvions nous attendre à avoir notre vue obstruée par un obstacle (ce qui peut arriver lors d’une alpha), mais dans le cas présent tout est mûrement réfléchi pour éviter cet écueil. Pour réaliser ce test, nous avions seulement accès au tutoriel, toutefois cela nous a permis de nous faire une première idée sur ce jeu. Et pour être sincère, il promet d’être plein de surprises !

 

Ce jeu annonce proposer plus tard un mode multijoueur, malheureusement lors du le test nous n’avons pas pu le tester. Si nous avons un jour l’occasion de nous replonger dans Rise of Humanity, nous feronsultérieurement une update du test.

 

Conclusion

 

Rise of Humanity est un excellent jeu de réflexion ainsi qu’un excellent jeu tactique pour les amateurs de ce style de jeu. Les graphismes sont bien pensés, ils sont agréables et possèdent des effets qui ne sont pas superflus. Ce soin apporté aux détails rend notre expérience de jeu encore plus passionnante. Au niveau des réglages quelques retouches sont à revoir sur la partie des langues, en effet, elle ne prend pas en compte notre choix, mais cela reste un bug mineur qui n’empêche pas d’apprécier l’expérience. Même si nous utilisons uniquement la souris pour jouer, peut-être qu’une adaptation manette pourrait voir le jour pour les personnes préférant jouer de cette façon.

En conclusion, nous vous recommandons Rise of Humanity pour son aspect tactique et sa dimension réflexive qui nous poussent à méditer soigneusement sur chacun de nos mouvements et chacune de nos actions, car la moindre erreur peut coûter la victoire !

Test : Pushy and Pully in Blockland !

Test : Pushy and Pully in Blockland !

Pushy and Pully : un petit jeu de plateau qui n’a rien à envier aux grands de l’industrie. Amusant avec de la réflexion, ce petit jeu saura ravir les grands comme les petits !

 

Développé par Resistance Studio, Pushy and Pully vous fera voyager à travers 50 niveaux dessinés à la main où vous devrez vous creuser la tête pour résoudre des puzzles complexes, combattre de charmantes créatures pour permettre aux héroïnes de récupérer leur vaisseau spatial afin de s’échapper de Blockland, le tout dans une adorable ambiance rétro à base de pixel-art.

Découvrez le trailer ci-dessous :

 

La mécanique classique du Match-3, vous permettra en joignant trois blocs ou plus de la même couleur, de débloquer des pouvoirs spéciaux et de battre plusieurs monstres en même temps afin d’obtenir des points de combo supplémentaires. Pushy and Pully in Blockland vous offre la possibilité de jouer en solo ou en coop.

Pour ce test, nous avons fonctionné un peu différemment par rapport à l’accoutumée, puisque nous ne sommes pas habitués à ce style de jeu. En conséquence, notre avis sera davantage orienté sur la découverte du jeu en lui-même. Pour commencer, le jeu n’est vraiment pas lourd après l’installation, le dossier ne faisant que 196 Mo, ce qui est vraiment peu. Passons à la partie interface, elle possède un aspect très coloré et enfantin, ce qui ravira, comme dit plus haut, aussi bien les petits que les grands enfants.

Votre souris ne vous sera d’aucune utilité dans Pushy and Pully in Blockland, tout se passe au clavier avec les touches de bases (ZQSD une fois reconfigurées) et les flèches directionnelles.

Nous avons farfouillé un peu partout afin de vraiment tout vous montrer ! Nous sommes arrivés sur un sous-menu offrant quelques réglages supplémentaires. Nous avons commencé par les langues disponibles sur le jeu et nous y avons trouvé :

  • Anglais
  • Japonais
  • Coréen
  • Chinois

Même si le jeu est intuitif, l’absence du français peut bloquer de jeunes joueurs qui aimeraient s’amuser et  comprendre les petites cinématiques qui apparaissent par moment.

 

Pour le volume du jeu, nous n’allons pas trop nous attarder sur ce point car il n’y a que deux réglages :

  • Le volume de la musique
  • Le volume des paroles

Toujours aussi colorés, les réglages sont aussi à réaliser au clavier, car comme dit plus haut la souris ne sert pas dans Pushy and Pully in blockland. De la simplicité jusque dans les menus.

 

 

 

Ensuite, il y a le réglage des touches, et pour être honnête il n’est pas si facile de réaliser la reconfiguration des touches à moins d’avoir un clavier QWERTY. Si vous en possédez un, vous n’aurez pas de soucis, les réglages d’origine suffiront amplement.

À ce moment, même si tout se comprend intuitivement pour réaliser les réglages, tout se fait pour le coup avec les flèches directionnelles. Nous n’avons pas essayé de brancher une manette pour voir comment réagissait le jeu et si au niveau de la reconfiguration, il était possible de modifier les touches. Même si votre niveau d’anglais équivaut à celui de notre testeur (proche d’un anglais de comptoir), vous arriverez à vous en sortir sans difficulté. Attention à bien valider, vous pourriez avoir de mauvaises surprises.

Même si le jeu est léger, faites attention lors du démarrage du jeu à bien sélectionner les bons réglages pour ne pas avoir de surprises et apprécier le jeu comme il se doit.

 

Au niveau de l’interface du début, nous pouvons retrouver l’ensemble des trophées obtenus durant nos sessions, ainsi que le classement, que cela soit en local ou en multijoueurs. Grâce à cela, vous pourrez comparer vos scores avec d’autres joueurs.

Voici ce que nous pouvons dire sur les réglages et le menu. Le point très positif à nos yeux, c’est la possibilité de reconfigurer les touches comme nous le souhaitons, ce qui laisse sous-entendre une accessibilité au jeu à des joueurs à mobilité réduite. C’est une vraie avancée car peu d’éditeurs y pensent.

 

Pour lancer votre partie, vous avez le choix entre : local ou en ligne. En local, vous pourrez jouer avec vos amis et voir qui a réalisé le meilleur score, cela pourrait même être l’occasion d’une excellente soirée entre amis autour d’une table. Pushy and Pully saura vous tenir compagnie et vous faire apprécier les jeux à la Bomberman ! Sur votre partie en ligne, vous pourrez être jusqu’à deux joueurs sur votre sauvegarde. Vous voulez passer un moment avec votre enfant, un ami, le jeu vous propose un moment de détente en sa compagnie.

Les graphismes en jeu sont simples, mais agréables, rien qui ne soit violent au premier regard et en sus, avec des dessins très bien réalisés. Pushy and Pully nous démontre que nous n’avons pas besoin d’un gros moteur graphique pour apprécier le jeu et c’est là toute la beauté de cette création. Il ne faut pas s’y fier, mais la 2D est très bien pensée laissant un visuel fluide tout au long de la partie.

Pour ce qui est du gameplay, si vous avez déjà joué à un Bomberman vous savez à quoi vous attendre. Si ce n’est pas le cas, avec un temps limité, vous devrez écraser les petits aliens à l’aide de blocs et de pièges disséminés un peu partout sur chaque niveau.

 

  • Graphisme enfantin et dessins très jolis.
  • Ambiance sonore agréable.
  • Agréable à jouer à plusieurs et avec vos enfants.
  • La reconfiguration des touches est peut-être un peu complexe, mais c’est tout.

 

 

 

 

 

Test : Citadel Forged With Fire !

Test : Citadel Forged With Fire !

Prenez un peu de Dark and Light, un peu d’Ark, secouez le tout et vous obtiendrez “Citadel : Forged with Fire”, un Sandbox aux graphismes simples mais efficaces avec un soupçon de magie et de créatures en tout genre.

 

 

Citadel : Forged With Fire dans la globalité

Dépoussiérez vos balais magiques et préparez-vous à lancer de puissants sortilèges à travers tout le royaume de Citadel : forged with fire ! Ce MMO-RPG sandbox se déroule dans l’univers magique d’Ignus. Vous arrivez comme aspirants sorciers et vous allez apprendre à concevoir et à lancer des sorts ; à chevaucher des balais magiques ou encore des dragons ; à bâtir des villes et à créer des alliances pour former des maisons en mode Game of Throne et pour finir, conquérir l’univers magique d’Ignus ! Mais avant tout cela, vous devrez gravir les échelons un à un et faire face à des créatures magiques, bonnes comme mauvaises, qui résident à travers les terres inexplorées du monde d’Ignus. Rassemblez des ressources, établissez des bases, entraînez-vous à lancer des sorts et améliorez vos capacités pour combattre des menaces bien plus obscures à venir.

Dans Citadel, la création de sorts est sans limites donc enchantez vos baguettes et armes à volonté : vous allez en avoir besoin. La création des sorts est un véritable plus dans ce style de jeu, car les seules limites dans la création est la limite de votre imagination, utilisez tout ce que vous voulez, enchantez à souhait tout vos items pour gagner en puissance ou en robustesse et bien plus. Le petit truc en plus est le vol, à travers le monde d’Ignus sur un balai magique (Harry Potter sors de ce jeu), la traversée du monde se fera rapide et les combats se feront beaucoup plus épiques quand vous maîtriserez les sorts en volant que ce soit sur un balai magique ou encore à dos de dragon ou d’aigle géant !

 

Comme tout jeu Sandbox, vous pouvez construire comme bon vous semble, vous voulez une petite maison au bord de l’eau ou un grand château de 2000 m² bah vous avez la possibilité de le faire en introduisant des boucliers magiques, des tours de défenses, des bassins de mana à l’intérieur.

 

Les Graphismes et l’ambiance du jeu

Les paysages et les graphismes sont bluffants, un équilibre bien harmonieux dans sa globalité. Que ce soit les créatures ou encore l’eau tout est parfait. L’ambiance de jeu se veut calme et reposante, la petite musique d’ambiance est très relaxante. Comme tous les jeux de ce style, l’ambiance de jeu est très tranquille, beaucoup de farm pour construire une petite maison pour finir par un château avec un hangar à dragon et j’en passe.

Citadel a un fort potentiel sur l’avenir comme ses concurrents, tellement de possibilités par des serveurs Rôle Play ou encore PVP/PVE. La bande-son est reposante, ce qui prolonge notre envie de jouer à Citadel. Les monstres à chasser sont très beaux, que ce soit les fées, les sangliers ou même les chevaux tous y passent et on apprend.

 

Les mécaniques de jeu : l’imagination au coeur du jeu

La prise en main est relativement rapide sur Citadel Forged with Fire, car elle est là même que sur tout jeu SandBox. L’arbre de compétence quant à lui est beaucoup plus facile de compréhension et très simplifié pour faciliter la recherche. Une fois le tutoriel terminé (même si vous n’êtes pas obligé de le faire), vous êtes livré à vous-même, explorez les contrées de ce Nouveau Monde, bâtissez-vous votre maison à votre image comme vous le voulez pensez à l’évolution de celle-ci et avancez dans ce monde plein de surprise.

Peut importe où vous commencerez votre aventure ou l’endroit où vous reviendrez, il y aura toujours les quêtes tutoriels à réalisés à chaque ville où vous serez, c’est une façon de vous faire de l’expérience facilement sans trop forcer. Citadel a un fort potentiel pour un jeu SandBox, beaucoup de choses réalisables ce qui pousse l’expérience de jeu encore plus loin, est le fait de pouvoir voler sur un balai ou encore sur un dragon même si pour le vol sur dragon, ils ne sont pas les seuls à l’avoir réalisé Citadel a toute notre attention sur c’est mécanique.

L’arbre de compétence

L’arbre de compétence est bien pensé, simple et efficace. Ils l’ont découpé en plusieurs sections distinctes ce qui permet une navigation fluide et ciblé vers ce que l’on va rechercher à monter en priorité ou non.
On a une première section regroupant les connaissances d’armures, d’accessoires et d’armes ainsi on cible plus facilement nos recherches et nos améliorations.

Ensuite, nous avons un autre arbre de compétence, qui lui cible principalement les connaissances de cuisine, de vol ou de consommable avec toujours le niveau auquel il se débloque. Même si cela ressemble toujours au même système d’arbre de compétence que l’on retrouve dans tous les jeux de ce style pour le coup, Citadel se démarque par son système de rangement par catégorie.

Enfin, pour terminer sur l’arbre de compétence, il nous reste la dernière fenêtre qui elle contient les connaissances hermétiques et architecturales du jeu. Ici, vous pourrez débloquer vos murs, vos sols aussi bien en bois qu’en pierre avec tout ce qui touche à la décoration de vos intérieurs sans oublier l’hermétique, qui contient principalement les compétences d’alchimies, d’utilitaires, vos pouvoirs ou encore la fabrication.

 

Conclusion

Pour conclure, Citadel : Forged with fire est un très bon MMO RPG, avec pas mal de points forts comme les nouveautés avec le vol sur balai ou encore le craft simple de sort, mais trop de jeux à l’heure actuelle sont dans cet esprit. Citadel de par son univers fantaisiste est intéressant et les graphismes sont bluffants. L’ambiance sonore vaut vraiment le coup, un son calme et reposant, mais speed quand on se fait attaquer est bien pensé et agréable. Si vous aimez les MMO RPG dans ce style, on ne peut que vous le conseiller ou même faire un RP Médiévale fantaisie peut-être intéressante, mais n’est pas adapté pour une petite partie en local solo, car vous vous ennuierez vite.

 

  • Graphisme Bluffants
  • Ambiance sonore agréable
  • craft simple et farm rapide
  • Pas le seul de sa catégorie
  • Fonctionne sur location de serveur principalement même si possibilité d’avoir sa propre partie en local mais solo
Test Hunt  Showdown

Test Hunt Showdown

Hunt Showdown un jeu de chasse prometteur avec des décors apocalyptiques comme on les aime !

 

Pour notre second test sur notre petit média, nous avons eu le plaisir de tester le jeu Hunt Showdown, le jeu de chasse PVP/PVE apocalyptique produit par Crytek, cela même qui ont créé la trilogie des Crysis !

Pour situer un peu les choses, dans Hunt Showdown vous faites partie d’un groupe de chasseurs de primes qui souhaitent sauver le monde de ces monstres sauvages tout droit sortis de vos pires cauchemars. Même mort, vous pourrez toujours progresser parmi les rangs des chasseurs grâce à votre bloodline. Quand votre personnage meurt, son expérience est transférée à votre Bloodline et profite ainsi aux autres chasseurs de votre groupe. La Dark sight (ou vision obscure) permet au chasseurs de voir au travers le voile qui sépare les mondes et ainsi percevoir ce qui est normalement invisible à l’oeil humain.

 

Voici pour rappel, le Trailer de Hunt Showdown :

 

 

Bons rentrons dans le vif du sujet et commençons notre petit test. Ce test sera séparé en trois parties que nous avons jugés importantes et une dernière partie où l’on fait une synthèse globale.

Commençons du coup par la partie graphique de Hunt Showdown : Alors, pour être honnête, nous avons été bluffé par la qualité des graphiques, Hunt est très propre l’ambiance dans laquelle ils nous mettent est tout bonnement géniale. Les décors sont somptueux sur tous les points, que ce soit en Low en Medium ou en Hight, la beauté reste la même, ils ont pensé à tout le monde pour que ce jeu reste agréable peu importe notre configuration. L’esprit à la Dead By Dealight est très présente et surtout très plaisante. La bande son est très jouissif, elle nous plonge dans l’univers horrifique à un point où le moindre bruit peut vous faire sursauter.

 

Ensuite, nous avons concentré un peu nos efforts sur l’environnement en lui-même. Les contrôles dans Hunt Showdown sont très bien pensés et très facile à prendre en main que ce soit à la manette ou au clavier / souris. Dans tous les cas dès le début du jeu à peine lancé, vous avez une mission qui vous explique tout dans sa globalité et donc facilite l’apprentissage. Les menus sont très intuitifs donc pas besoin de détailler sur ce point, on comprend très vite les choses quand on est dans le menu.

 

Et pour terminer sur les points importants, l’ambiance horrifique de Hunt Showdown donne un certain charme à ce style de jeu, même si, au départ il est compliqué d’y comprendre quelques choses après quelques parties tout devient clair et on prend un certain plaisir à jouer à Hunt Showdown et quand on arrête, on a comme un goût d’y reviens-y pas déplaisant. Un point très intéressant et surtout bien penser, au début d’une manche on est lâché à un point sur la map avec comme seul défense, ce que le jeu veut ! Ça peut être un couteau, vos poings, un petit fusil à pompe ou une carabine, seul le jeu décide et c’est très bien penser.

 

Pour terminer ce test, voici mon avis sur Hunt Showdown : L’esprit horrifique ainsi que l’ambiance globale fait de Hunt  Showdown un bon jeu de chasse PVP et PVE. Le format survis du jeu est très prenant et une mauvaise action peut entraîner votre mort. Méfiez-vous des lacs, de drôle de monstre si cache et vous pouvez le regretter très vite. Dans sa globalité Hunt Showdown, est très intuitif et surtout son monde apocalyptique nous donne un goût d’y revenir très vite même si l’on meurt d’une façon des plus atroces, manger par une bestioles dans l’eau, on y revient avec plaisir !

 

– Graphismes très bien réalisés 

– Bande sonore très prenante 

– Prise en main facile et très intuitives

– l’attente pour trouver des parties qui peuvent être longues