NieR : Replicant, un jeu qui vous rend accro !

NieR : Replicant, un jeu qui vous rend accro !

Des plaines septentrionale en passant par l’Aire et en continuant vers d’autres endroits tout aussi beaux, NieR : Replicant ver 1.22 vous captera du début à la fin !

 

Nous nous retrouvons aujourd’hui avec le test de Nier : Replicant ver 1.22, un jeu développé par l’éditeur connu et reconnu qu’est Square Enix. Nous allons procéder un peu différemment sur le test tout en gardant notre ligne de conduite que nous avons toujours fais, c’est-à-dire Histoire, Gameplay et son, pour finir par une conclusion sur notre ressenti sur le jeu après quelques heures de passé dessus et ce n’est pas terminé comme actuellement, nous sommes tous les soirs en live dessus sur Twitch (à l’heure où ce test est réalisé).

 

Un scénario qui nous montre l’amour entre un frère et sa soeur !

 

Pour commencer le test, nous allons commencer par l’histoire du jeu, nous incarnons le frère de Yonah, qui est atteinte de la nécrose runique, un mal qui touche ce monde et qui tue celui qui en est atteint. Tout au long de notre voyage, nous n’aurons qu’une idée en tête trouver un remède pour notre sœur malade. Bien entendu, nous n’allons pas parcourir ce monde seul, nous sommes accompagnés au début par le Grimoire Weiss, un peu espiègle sur les bords, mais qui nous est très précieux tant par ses pouvoirs qu’il nous transmet et nous permets d’utiliser sa magie, mais également utile pour certaines occasions comme avec le peuple du désert. Par la suite, nous serons accompagnés d’une deuxième voyageuse, Kainé, à moitié dénudée pour empêcher l’ombre en elle de se propager, mais d’un très grand soutien pour notre aventure. Nous rencontrerons bien d’autres personnages par la suite, mais nous n’allons pas tout vous divulguer pour ne pas vous enlever le plaisir de ce magnifique jeu.

Découvrez ou redécouvrez la bande-annonce de NieR : Replicant ver 1.22 ci-dessous :

 

Des graphismes magnifiquement réalisés !

 

Pour ce qui est des graphismes, nous avons été conquis par les décors, les personnages d’une très grande qualité. Les décors sont splendides que ce soit dans le village du départ, en passant par la plaine septentrionale, le désert ou encore la forêt des légendes, NieR Replicant ver 1.22 est d’une très grande finesse. La fluidité des mouvements lors des combats est très agréable et n’entache pas notre expérience de jeu. Les traits des personnages sont très bien réalisés et le faites du changement de caméra quand nous rentrons dans une maison ou encore quand nous allons voir Popola dans la bibliothèque et qui nous montre une coupe transversale est très agréable. Peu ou pas de bogue ont pu être vu durant notre phase de test au niveau des graphismes, peut être juste un léger, mais c’est vraiment minime et n’a aucun impact sur le gameplay, nous sommes passés un tout petit peu sous la map (nos jambes) lors d’un combat de boss, mais c’était plus dû à plein de mouvement entre notre personnage et le boss.

 

Une aventure tellement belle, qu’on ne peut pas s’arrêter d’y jouer

 

Du début à la fin de nos sessions de jeu nous sommes plongés dans cette ambiance fantastique qui nous pousse à toujours aller plus loin, nous sommes restés plusieurs fois sur notre faim quand nous devions nous stopper. Autant sur la musique envoûtante qui nous plonge dans cet univers dans un monde anéanti par des ombres supervisées par le maître des ombres. Nous apprenons à aimer ces personnages que nous incarnons,mais également nous apprécions la fluidité des mouvements durant les combats, les changements de plan quand on entre dans les maisons (exemple : Taverne, Bibliothèque, sous-sol du manoir), tout est très bien réalisé et le changement de vue est très appréciable ! En soi, nous ne pouvons que vous conseiller de vous lancer dans NieR : Replicant ver 1.22, il vous fera passer de très bon moment et vous fera découvrir des paysages magnifiques ainsi que des personnages attachants à souhait !

 

 

Une aventure que l’on ne peut que vous conseiller !

 

Nous sommes tombés littéralement sous le charme à la rédaction de la Deathsquad ! Un jeu magnifique, bourré de référence sur différents jeux de chez Square Enix qui nous rempli de joie quand on voit la beauté de leur jeu. Nous ne pouvons que vous le conseiller, c’est une version améliorer du précédent NieR : Gestalt sortie il y a quelques années maintenant qui nous permet de nous replonger dans ce jeu très apprécié. Si l’histoire vous intéresse, actuellement nous sommes en live tous les soirs dessus pour finir l’histoire une première fois donc n’hésitez pas à nous rejoindre ici !

 

Découvrez le test de MXGP 2020 !

Découvrez le test de MXGP 2020 !

MXGP 2020 du moto-cross dans toute sa splendeur !

 

On se retrouve aujourd’hui pour le test de MXGP 2020, un jeu de moto-cross dans toute sa splendeur autant sur les graphismes que sur le gameplay. Comme à notre habitude, on va réaliser ce test sous différentes parties : Graphismes et Audio et Gameplay.

Pour commencer, petit rappel de ce qu’est MXGP 2020, il s’agit d’un jeu de moto-cross développé par Milestone et édité par Milestone également. Sortis initialement le 10 décembre 2020, les joueurs peuvent vivre toutes les émotions de la saison de MXGP officielle 2020 en courant avec les pilotes officiels correspondant à leurs catégories MXGP et MX2 sur des circuits de la saison 2020. Vous commencerez en tant que débutant et vous pourrez choisir votre propre voie vers le succès : rejoindre une écurie officielle ou créer la vôtre. Bien entendu, l’éditeur de circuit fait également son grand retour dans MXGP 2020 !

 

Découvrez ou redécouvrez le trailer de lancement :

 

 

Après cette piqure de rappel, passons au test et comme à notre habitude on commence avec les graphismes. MXGP 2020 est vraiment très beau graphiquement, une gestion des changements de temps très bien réalisé. Les paysages ainsi que les effets météorologiques sont très propres, on passe d’un temps ensoleillé en passant à un temps nuageux jusqu’à voir la pluie tombée en rafale. Cela influencera l’intégralité de votre façon de conduire votre moto. La modification des réglages graphiques reste basique, mais intuitive, cela reste rapide à modifier pour permettre à de petites configurations de faire tourner le jeu correctement.

 

Les sons sont d’une assez bonne précision dans l’ensemble, juste certains sons de motos sont légèrement biaisés lors des accélérations, mais rien qui viennent enlever le plaisir du jeu. Les différents effets sur les pistes sont très bien réussis, la déformation de la piste dans certains virages fait que l’on doit modifier notre approche et cela apporte un vrai plus dans MXGP 2020 ! Dans l’ensemble, les graphismes et l’audio de MXGP 2020 est un véritable plaisir tant sur les graphismes que sur l’audio, et nous plonge dans une immersion très prenante d’arrivé en tête.

 

 

Sur le gameplay, MXGP 2020 est extrêmement plaisant, une fluidité dans les mouvements, les sensations sont présentes à chaque instant. Comme beaucoup de jeu dans ce style, on a toujours l’impression que l’IA est monté sur un rail qui suit bêtement son chemin, mais là ce n’est pas le cas. L’IA réagit correctement à notre façon de conduire la moto, essaie de bloquer quand on veut doubler ce qui rend les courses un peu plus immersives. Le petit truc en plus qui fait qu’on accroche beaucoup, le faite de pouvoir tombé. Comment ça tomber ? Et bien oui, dans beaucoup de jeu de ce style, on peut se pencher, on ne tombe pas, mais là, c’est le cas, une erreur de conduite et vous êtes au tapis et cela fait un peu plus sont charme. La partie des réglages de la moto est relativement intéressante quand on est un adepte de la moto. On trouve beaucoup de réglage important que l’on peut modifier pour s’adapter au circuit sur lequel on va concourir et ainsi gagner soit en accélération ou encore en agressivité.

 

Et pour terminer, le système de création de maps reste complexe à prendre en main quand on débute. Même si le mode pense à être super sympa, la création de ceux-ci reste complexe et une certaine maîtrise est obligatoire pour réussir à réaliser sa propre map et ainsi pouvoir la proposer à d’autres joueurs. La partie multijoueur reste intéressante pour les joueurs compétitifs qui souhaitent représenter leur propre écurie lors de course endiablée.

 

Dans l’ensemble, MXGP 2020 est un très bon jeu de moto-cross, plaisant tant sur l’aspect graphique que sur l’aspect gameplay. Petit bémol sur la partie sonore sur certaines motos ainsi que sur la salissure sur l’arrière de notre moto quand il y a de la boue ou même de la pluie.

 

 

 

Nous ne pouvons que conseiller le jeu aux amateurs de jeu de moto-cross, un très bon qui ravira les fans de motos.

Pour plus d’informations sur MXGP 2020, rendez-vous sur le site officiel en cliquant ici !

 

 

 

Dirt 5, découvrez nos impressions !

Dirt 5, découvrez nos impressions !

Des graphismes très bien réalisés, un jeu de rallye comme on les aime, mais est-ce suffisant ?!

 

Pour ce nouveau test de Dirt 5, on procédera comme à notre habitude en plusieurs étapes : graphismes, gameplay et conclusion. On dédiera une partie à un autre mode de jeu : le mode Playground.

Pour le côté graphique, on peut dire que jeu possède une réalisation très nette. Du design des véhicules en passant par les multiples paysages et les différentes météos, tout reste très propre. Une très belle optimisation au niveau graphique a été réalisée, cependant sur certains points, on trouve que la luminosité est mal gérée. Entre la neige qui empêche de voir, l’entrée dans un tunnel où on ne discerne strictement rien ou les fois où on est éblouis, c’est peut-être un peu trop par moments. Sur l’aspect des effets du temps, sur les paysages ou sur les différentes routes, dans l’ensemble c’est très réussi. Le sable, la neige ou encore la pluie arrivent par intermittence et ils ne gâchent pas le plaisir ressenti, à l’inverse, ils accentuent même l’envie de conduire dans la boue.

Un petit point que l’on tient à relever, c’est le petit retour de flamme au niveau du pot d’échappement des différents véhicules, lorsqu’on passe les vitesses. Ce petit détail, bien réalisé, ajoute une plus-value au jeu. Pour ceux qui apprécient le souci du détail dans les jeux, cela leur fera plaisir.

 

 

Pour le gameplay, on suppose que tout le monde connaît plus ou moins les courses de rallye, avec des jeux tels que ceux de la série Dirt. Cela n’empêchera de toucher quelques mots sur ce point. D’ailleurs, on précise que ce test a été réalisé sur PC, à l’aide d’une manette Xbox. Ici, le gameplay reste facile à prendre en main avec une fluidité qui est très propre : il vous suffira de gagner des courses et d’améliorer vos différents sponsors en respectant les défis qu’ils vous donneront. Grâce à cela, Dirt 5 est très agréable pour sa catégorie, avec un style de jeu qui varie en fonction des courses. Les commandes sont simples et les seuls moments où l’on doit réfléchir un tant soit peu, c’est dans le choix des sponsors, et encore, si on souhaite terminer le jeu à 100%, on aura besoin de tous les sponsors au niveau 15 dans le mode Carrière.

 

Dans la globalité, le mode Carrière est principalement là pour aider à améliorer la gestion des virages ou bien la connaissance des différentes courses pour le mode en ligne. Dans ce dernier, on retrouve quasiment toujours les mêmes véhicules en course, ce qui fait que tout se jouera sur la qualité de votre conduite. Pour revenir sur les modes Carrière et Arcade, on reproche à l’IA d’être trop prévisible, et surtout, d’être montée sur des rails. On s’explique, on a l’impression qu’elle suit un chemin et ne s’adapte pas à la conduite du joueur. Mis à part ce point, ces deux modes restent très intéressants pour s’entraîner avant d’aller affronter des joueurs du monde entier. Un dernier point, qui n’est pas forcément des plus importants, cela touche aux anecdotes des commentateurs dans le mode carrière. Leurs paroles peuvent vite devenir très intrusives et ils ont tendance à trop parler en fonction des moments, même s’ils peuvent vous arracher un sourire.

 

 

Dans le mode Playground, rien de bien compliqué, on a la possibilité de choisir la carte que l’on veut. Entre looping, secteur de drift et saut en tout genre, on a le champ libre pour faire ce que l’on veut. Ce que l’on retient, en particulier, c’est la possibilité de partager vos maps avec les autres joueurs, ainsi que les mécaniques qui ne sont pas forcément très faciles à prendre en main. Ce mode est super pour stimuler la créativité et donner forme à vos envies, cependant on trouve que le système de commande est mal optimisé. Est-ce dû à l’utilisation de la manette pour réaliser la carte ? Hormis ce petit point, Dirt 5 reste une très belle réalisation.

 

 

Pour conclure, Dirt 5 est un bon jeu de rallye, aspect qui ne surprend pas avec cette licence. Malgré quelques aspects qui peuvent être dérangeants, avec quelques soucis au niveau des effets visuels et une IA un peu trop prévisible, le jeu est très agréable. Il nous transporte dans l’univers des courses de rallye et fait voyager le joueur autour du monde grâce à ses différents paysages. La réalisation de l’environnement ainsi que celle des véhicules sont graphiquement très bien exécutées. Sans oublier que Dirt 5 mise principalement sur le mode en ligne et le mode Playground, plutôt que sur le mode carrière.

 

 

On ne peut que vous recommander Dirt 5 !

 

 

 

 

Railway Empire, l’évolution du chemin de fer dans le temps !

Railway Empire, l’évolution du chemin de fer dans le temps !

Retrouvez votre âme d’enfant et renouez avec votre amour pour les chemins de fer dans Railway Empire !

 

Pour ce test, on le construira comme à notre habitude, en trois parties. En premier lieu, l’histoire pour se remémorer le jeu un tant soit peu ; ensuite le gameplay et les graphismes ; puis une conclusion qui n’engage que notre avis. Sentez-vous libres de nous partager vos ressentis et vos opinions dans les commentaires. On vous souhaite une bonne lecture !

 

Pour commencer, Railway Empire est un jeu de gestion d’entreprise ferroviaire qui est sorti le 26 janvier 2018. Par la suite, Kalypso media et Gaming Minds Studios ont décidé de proposer une édition complète (incluant les DLC et bien d’autres ajouts), disponible depuis le 7 août dernier.

 

Railway Empire se passe aux États-Unis entre 1830 et 1930, une époque intéressante pour observer de sublimes trains à vapeur reconstitués avec minutie. Votre objectif sera d’étendre votre empire ferroviaire jusqu’aux quatre coins de l’Amérique. Pour ce faire, vous pourrez acheter de nouvelles locomotives afin de relier plus rapidement différentes villes, ou encore, racheter des entreprises qui commencent à ne plus s’en sortir pour leur octroyer votre aide. Comme dans tout jeu de gestion, vous rencontrerez également de la concurrence, à vous de la dominer afin de révolutionner l’industrie ferroviaire. Pour vous offrir de longues sessions de jeu, Railway Empire dispose de plusieurs modes de jeu tels que :

  • La campagne
  • Le mode Bac à Sable
  • Scénarios
  • Le mode libre

 

 

Découvrez ou redécouvrez le trailer de Railway Empire :

 

 

 

Pour continuer, on parlera un peu des graphismes qui sont pour nous très réalistes. Surtout quand on passe en vue embarquée, on peut alors profiter d’une vision magnifique sur les différents paysages que Railway Empire propose. De surcroît, les effets in-game des différentes locomotives, les sifflets du train ou encore les effets dans le désert sont d’une excellente qualité, grâce à cela, on se prend facilement au jeu et le plaisir d’avancer dans les différentes missions reste intact du début à la fin.

 

Ensuite, le didacticiel où l’on se familiarise avec les mécaniques de Railway comme il se doit, simplement et efficacement, ce qui a pour effet qu’on se prenne au jeu plus aisément. Dans ce jeu, on ne nous donne pas toutes les informations directement,  on les recevra plutôt tout au long de la mission. Par moment, on pourra voir apparaître une coupure de journal ou bien une vente d’entreprise, il nous sera alors proposé de la racheter ou bien de refuser l’offre. De cette façon, l’interaction entre le joueur et le jeu reste très intuitive grâce à des missions claires. Quant à l’arbre de compétences, ce dernier se débloque assez simplement et il ouvre la possibilité d’améliorer son entreprise avec de nouvelles locomotives ou bien des améliorations sur les réparations de voies ferrées ainsi que bien d’autres choses, qu’on se garde bien de vous révéler. La réflexion sera toujours au coeur de vos actions, réfléchissez bien et pensez méthodiquement à la réalisation de chaque voie, de chaque amélioration pour ne pas manquer vos objectifs, car de trop nombreuses erreurs entraîneront votre chute.

 

Pour conclure, Railway Empire est un jeu de gestion très intuitif pour les amoureux du genre ou de ce type de gameplay. Dans le cas contraire, même si vous n’êtes pas des adeptes de ce type de jeu, Railway offre une excellente initiation, car il est clair et précis dans ses consignes et avec des graphismes aussi bien pensés que réalisés. On ne peut que vous conseiller d’y jouer ! Un petit bémol reste à souligner, en effet, une fois les mécaniques prises en main, le jeu devient quelque peu répétitif. Malgré tout, on conserve un certain plaisir à rejouer au petit train comme dans notre enfance et c’est pour nous un très bon point !

 

Découvrez le test de Relicta

Découvrez le test de Relicta

Relicta : le jeu d’énigme qui vous transportera littéralement sur la Lune et qui vous fera réfléchir au point d’en avoir mal à la tête !

 

Aujourd’hui, on vous propose de découvrir notre test de Relicta, le jeu développé par Mighty Polygon et distribué par Koch Media. C’est un jeu de réflexion à la première personne qui se déroule sur la Lune, proposant au joueur de plonger dans un univers de science-fiction. N’hésitez pas à nous partager votre ressenti sur le jeu dans les commentaires.

 

 

En ce qui concerne l’histoire de Relicta, vous incarnerez la scientifique Angelica Patel qui attend la venue de sa fille récemment diplômée  sur la base Chandra. L’aventure se passe dans un futur lointain, sur la Lune où ont été installées différentes stations lunaires. Là-bas, vous serez amené à faire la connaissance du Relicta, une entité extra-terrestre ressemblant à un énorme astéroïde vivant. Au début du jeu, vous commencerez dans un moment de panique : une brèche dans la barrière de confinement du Relicta vous forcera à vous rendre jusqu’à lui. Ce dernier vous absorbera et vous renverra dans le passé afin de comprendre ce qui a bien pu se passer. Vous aurez ainsi l’occasion découvrir les personnages secondaires, dont la fille du Docteure Patel : Kira Patel, que vous devrez sauver.

À l’aide de vos gants gravitationnels, changez la polarité des cubes et des différentes plateformes pour réussir les énigmes qui se présenteront devant vous. De cette façon, par la résolution des énigmes qui se présenteront à vous, vous progresserez à la fois dans l’histoire et vous pourrez percer le mystère qui entoure le Relicta. Le gant de votre main gauche (représenté en bleu) aura pour effet de modifier la polarité du cube ou de la plate-forme en positif et celui de votre main droite (représenté en rouge) en négatif. Il est également possible de faire graviter le cube, et pour ce faire, il suffit d’un clic molette sur le cube. Cela permet d’ajouter de la complexité aux énigmes et d’ajouter de la profondeur au gameplay.

 

 

Au niveau du gameplay, on avance sur différentes énigmes aussi bien en intérieur (pour relancer le système, même si ce n’est pas la tâche la tache plus compliquée) qu’à l’extérieur, ce qui amène à voyager à travers des décors plus sublimes les uns que les autres. En terme pratique, Relicta est relativement simple à comprendre, on a un ou plusieurs cubes à utiliser pour actionner différentes plateformes afin d’ouvrir les portails au fur et à mesure que l’on progresse. La difficulté de Relicta se situe dans les énigmes qui augmentent crescendo très rapidement, ce qui ne laissera aucun de répit à votre cerveau. Chaque choix est une réflexion de plusieurs minutes.

 

On le comprend rapidement, mais le principe de Relicta est de réussir les énigmes avec une difficulté plus que présente, ce qui pousse à  réfléchir continuellement. L’analyse de votre environnement occupe également une place importante, car on ne voit pas toujours tout au premier coup d’oeil, un cube caché par exemple, et à maintes reprises, il est simple de passer à côté de la solution si l’on manque d’attention. Même si on le comprend aisément, il est bon de rappeler que la polarité est au coeur de Relicta, on devra jouer sur le magnétisme et la gravité tout au long de notre aventure afin de résoudre les puzzles.

 

 

Pour les graphismes, on ne peut qu’en être amoureux ! Des décors réalisés très soigneusement nous plongent dans un univers lunaire avec des graphismes bien pensés. Que ce soit à l’intérieur, au gré des différentes bases lunaires, avec les décors des laboratoires, le coeur même de la station ou même le Relicta, ou encore, en extérieur, avec les différentes énigmes avec la faune qui a été recrée artificiellement. Tout est si agréable à regarder et à détailler, que vous éprouverez réellement du plaisir à contempler le décor. Cependant, on mettra en avant un point important. À un moment donné dans l’histoire, au niveau de certains portails violets (que l’on traverse normalement sans difficulté), toutefois cette fois-ci, il est impossible d’aller de l’autre côté. Pourquoi ? Car un rayon jaune est superposé par-dessus ceux qui sont violets. Cette superposition empêche de voir ce rayon jaune, ce qui déroute quelque peu lorsqu’on parvient finalement à passer de l’autre côté.

 

En conclusion, Relicta possède beaucoup du mérite. Ce jeu nous immerge dans un environnement lunaire splendide avec une intrigue qui nous tient en haleine du début à la fin. Visuellement, le jeu est superbe aussi bien dans ses environnements situés à l’intérieur que ceux situés à l’extérieur. De plus, les différents effets que l’on peut apercevoir tout au long dans le jeu sont bien réussis. Le seul bémol que l’on a trouvé, ce sont ces fameux rayons jaunes superposés sur les rayons violets que se distinguent difficilement.

On ne peut que vous conseiller ce jeu d’énigme qui vous tiendra en haleine du début à la fin !

 

 

Test de Warhammer 40 000 : Mechanicus !

Test de Warhammer 40 000 : Mechanicus !

Warhammer 40 000 : Mechanicus, le jeu au tour par tour qui vous tiendra en haleine du début à la fin !

 

Pour ce nouveau test, on a eu la chance de mettre la main sur Warhammer 40K Mechanicus, le jeu au tour par tour tactique de Kalypso Media déjà présent sur vos ordinateurs. La gestion de votre armée, les améliorations à faire pour avancer, tout y est bien travaillé et vous tiendra du début à la fin en haleine. Comme on a notre habitude, on découpera le test en 2 parties : d’abord le gameplay, puis ensuite les graphismes. Pour terminer on vous présentera dans la conclusion notre ressenti global sur le jeu.

 

 

Un gameplay facile à prendre en main et un jeu agréable dans l’ensemble !

 

Warhammer 40 000 : Mechanicus est facile à prendre en main, son didacticiel est très bien expliqué et on arrive facilement à comprendre la mécanique. Dans ce jeu, on avance pièce par pièce avec soit des choix à réaliser ou bien aucun. Par moment, vous aurez des choix à réaliser qui auront un impact directement sur vos troupes. Par exemple, si vous traversez un pont avec un ennemi dessus, vous pourrez recevoir des dégâts. Bien entendu, en fonction des différentes actions que vous réaliserez, l’issue ne sera jamais la même.

 

Ensuite, les combats se déroulent au tour par tour. Cela pousse à déployer nos différentes troupes avec une certaine logique, il y aura une différence entre la manière de placer nos Tech-Priest (unité d’élite, si on peut dire) par rapport à la chair à canon. Vous devrez analyser “l’arène de combat“, soit la pièce où se trouvent les ennemis, pour réaliser un déploiement efficace et réussir à vaincre vos adversaire le plus rapidement possible. Une fois cela réalisé, place au combat et chacun jouera à son tour : d’abord déplacer vos unités en direction des ennemis, puis récupérer les différents pylônes de connaissances pour pouvoir effectuer des déplacements supplémentaires. Globalement, vous n’aurez pas trop à vous soucier des ennemis, car seules l’armure et la connaissance sont réellement importantes : plus vous êtes protégé, mieux vous survivrez.

 

 

En ce qui concerne les troupes, on a la possibilité de les améliorer sur le vaisseau à l’aide des différentes pierres noires que l’on récupère lors de nos missions. On a alors la possibilité d’améliorer nos Tech-Priests à travers 6 classes définies (mais on peut aussi bien faire les six sur un seul et même personnage, il n’y a pas limite) que vous pouvez voir ci-dessous :

 

 

 

Des graphismes simples et épurés !

 

En ce qui concerne les graphismes, on ne peut qu’apprécier la simplicité des effets qui font le charme de Warhammer 40 000 : Mechanicus. Les couleurs chaleureuses de ce jeu sont appréciables, les animations d’ordre de mission sont agréables et ne sont pas intrusives : une simple bannière en bas de l’écran explique ce qu’il se passe, ni plus ni moins. Warhammer 40 k est un jeu plaisant pour l’oeil dans un décor de vaisseau post-apocalyptique qui nous donne envie de progresser toujours plus dans l’histoire. Les animations de mouvement sur le board (si on peut l’appeler ainsi) sont très bien réalisées, très fluides. Quant aux animations de tir, elles sont bien conçues sans en faire de trop, et les pylônes pour récupérer les points de connaissance sont aussi très bien animés. En ce qui concerne les graphismes de manière général, on tient à dire que Warhammer 40K Mechanicus est magnifique.

 

 

Notre conclusion sur Warhammer 40K Mechanicus

 

La série de jeu Warhammer n’a jamais déçu les adeptes du tour par tour. Entre des sons ambiants très bien placés, des graphismes propres et un gameplay qui se prend en main très facilement, Warhammer 40K Mechanicus se place dans le top des jeux en tour par tour.

On ne peut que vous conseiller Warhammer 40K Mechanicus qui vous plongera dans les tréfonds avec les Tech-Priests les plus puissants de cette licence, enfin mis en avant dans leur univers post-apocalyptique !